vendredi 23 avril 2010

C'est ici que tout a commencé, c'est ici que cela se terminera.

Après les trois jours bien chargés passés à Pucon, nous continuons notre montée vers le nord, direction Santiago, cette capitale où nous avion atteri il y a déjà plus de 5 mois.



Nous y passerons le week end, afin de pouvoir planifier avec l'association crecer educa le travail avec les enfants des écoles de Freirina...

Nous dormons chez Joaquin, le même couchsurfer qu'à notre arrivée en Amérique du Sud. Repasser par Santiago nous laisse une étrange impression: nous revoyons la même gare routière, les mêmes bâtiments, nous nous promenons dans les mêmes rues. Difficile de ne pas se rendre compte que la boucle sera bientôt bouclée.

Mais grâce à Joaquin, qui nous invitera notamment à une soirée concerts / lecture de poésie organiséee par le cercle littéraire auquel il appartient, nous n'aurons guère le temps de sombrer dans une nostalgie anticipée.

Au chapitre des nouveautés par rapport à notre premier passage ici, signalons tout de même la montée en funiculaire, au sommet du cerro San Cristobal: une belle lumière rosée au coucher du soleil et une superbe vue sur Santiago by night.











Du côté du projet de dessins, c'est avec grand plaisir que nous retrouvons le personnel de l'association Crecer Educa, notamment son président, Juan Vicente. Les locaux sont en ébullition, car tout le monde travaille d'arrache pied pour finir d'emballer tout le matériel pédagogique qui fera avec nous le voyage vers Freirina.

Nous convenons de partir le lundi dans l'après-midi, dans une petite camionnette chargée à ras bord de matériel... le voyage s'annonce assez incomfortable (9-10 heures de route et pas beaucoup de place pour les jambes), mais côté aventure, on sera servi...




1 commentaire:

  1. jolie foto du funiculaire!
    mais revoir justement ces personnes à la fin de votre voyage, est ce que cela ne confirme pas le fait que certaines rencontres faites ici ne sont pas fugaces, qu'il ya réelle possibilité de créer des liens durables et de rester en contact avec eux?
    Bisous bisous

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