Petit layus sur les transports au Pérou, histoire de vous faire partager mes déplacements quotidiens pour aller à l'école CEP du Padre Tumba ou à Trujillo.
Pour se déplacer, trois possibilités:
- le taxi, pratique quand on arrive avec beaucoup de bagages et qu'on est un peu perdus dans le système de bus péruviens.
Pour se déplacer, trois possibilités:
- le taxi, pratique quand on arrive avec beaucoup de bagages et qu'on est un peu perdus dans le système de bus péruviens.


- pour les petits trajets, lorqu'on rentre bien chargé des courses au marché, on pourra opter pour une "moto-taxi"

- les micros, des bus qui transporteraient une trentaine de personnes en France (mais ici on tient facile à 50...)

- les combis, de petites camionnetes blanches, là encore leur remplissage défit parfois les lois de la physique.

L'équipage se compose d'un chauffeur (docteur ès conduite de bus ayant plus de 35 ans, la radio posée à côté de lui doit coûter plus que le bus tellement il est vieux...) et un homme à tout faire chargé entre autres de héler les passants, d'ouvrir et de fermer la porte du bus, d'aider les passagers à monter lorsqu'ils portent de lourds paquets, de collecter le prix de la course (après d´âpres négociations selon le lieu de montée et de descente des passagers), et de procéder à un étrange rituel dont le sens m'échappe pour l'instant. Sur le trajet du bus sont en effet réaprtis plusieurs points de passage. A chacun de ces points, l'homme volant saute du bus encore en marche et se précipite à travers la circulation, une feuille de papier à la main, vers une machine à poinconer, sans doute pour marquer l'heure de passage du bus. Je pensais qu'il courait pour accélérer le voyage, mais cela ne semble pas être le cas puisque pour revenir au bus, il prend par contre tout son temps. Mystérieux cérémonial dont je ne percevrai peut-être jamais le sens...

- les micros, des bus qui transporteraient une trentaine de personnes en France (mais ici on tient facile à 50...)

- les combis, de petites camionnetes blanches, là encore leur remplissage défit parfois les lois de la physique.

L'équipage se compose d'un chauffeur (docteur ès conduite de bus ayant plus de 35 ans, la radio posée à côté de lui doit coûter plus que le bus tellement il est vieux...) et un homme à tout faire chargé entre autres de héler les passants, d'ouvrir et de fermer la porte du bus, d'aider les passagers à monter lorsqu'ils portent de lourds paquets, de collecter le prix de la course (après d´âpres négociations selon le lieu de montée et de descente des passagers), et de procéder à un étrange rituel dont le sens m'échappe pour l'instant. Sur le trajet du bus sont en effet réaprtis plusieurs points de passage. A chacun de ces points, l'homme volant saute du bus encore en marche et se précipite à travers la circulation, une feuille de papier à la main, vers une machine à poinconer, sans doute pour marquer l'heure de passage du bus. Je pensais qu'il courait pour accélérer le voyage, mais cela ne semble pas être le cas puisque pour revenir au bus, il prend par contre tout son temps. Mystérieux cérémonial dont je ne percevrai peut-être jamais le sens...
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